AGORAPHOBIE ce trouble anxieux de la place publique

L’agoraphobie est un trouble anxieux caractérisé par une peur intense et persistante des situations ou des endroits où il pourrait être difficile ou embarrassant de s’échapper ou d’obtenir de l’aide en cas de crise ou de panique. Les personnes atteintes d’agoraphobie évitent généralement les endroits bondés, les transports en commun, les espaces ouverts ou les lieux où il est difficile de sortir rapidement, tels que les ascenseurs ou les salles de cinéma.

Voici quelques points importants pour expliquer l’agoraphobie :

  1. Crises de panique : L’agoraphobie est souvent liée à une expérience antérieure de crises de panique, qui sont des épisodes intenses de peur et de malaise physique. Après avoir vécu une ou plusieurs crises de panique dans un lieu public ou une situation spécifique, une personne peut développer une peur intense de revivre ces sensations.
  2. Évitement comportemental : Pour éviter les situations qui déclenchent l’anxiété, les personnes atteintes d’agoraphobie ont tendance à modifier leur comportement en évitant certains endroits ou en les quittant rapidement dès qu’ils se sentent mal à l’aise.
  3. Préoccupations excessives : Les personnes atteintes d’agoraphobie ont souvent des pensées anticipatoires anxieuses concernant les situations redoutées, ce qui renforce leur besoin d’éviter ces endroits.
  4. Impact sur la vie quotidienne : L’agoraphobie peut avoir un impact significatif sur la vie quotidienne de la personne, restreignant ses activités sociales, professionnelles et personnelles.
  5. Facteurs de risque : L’agoraphobie peut être causée par une combinaison de facteurs génétiques, biologiques et environnementaux. Des antécédents familiaux de troubles anxieux, des événements de vie stressants ou traumatiques et une prédisposition à l’anxiété peuvent contribuer au développement de ce trouble.
  6. Traitement : L’agoraphobie est traitable. Les approches thérapeutiques courantes incluent la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) avec l’hypnose, la thérapie d’exposition, la gestion du stress et, dans certains cas, des médicaments anxiolytiques prescrits par un professionnel de la santé qualifié.

L’agoraphobie vient des mots grecs AGORA (qui signifie place publique) et PHOBUS (crainte). C’est la panique de la foule et celle aussi d’en avoir peur. Elle est fortement reliée à une peur inconsciente de la mort. Si je suis atteint d’agoraphobie, je suis très dépendant sur le plan affectif et je n’ai jamais vraiment coupé le(s) lien(s) maternel(s). Je suis semblable à une éponge : j’absorbe les émotions d’autrui (surtout les peurs) sans discerner, filtrer ou protéger ce qui m’appartient du reste et j’amplifie autant mes peurs que celles des autres. ]’ai donc tendance à me replier sur moi-même, à me sentir responsable de tout, à communiquer très peu sauf avec la personne en qui j’ai énormément confiance, avec qui je me sens en sécurité ; je m’isole donc par crainte de m’éloigner de cette forme de sécurité.

Il m’est facile de tout « contrôler, à un endroit où je suis en totale sécurité. Cependant, dès que je quitte celui-ci, tout s’effondre ! J’angoisse pour tout, comme si mes peurs m’envahissaient au point où j’ai l’impression de perdre le contrôle ! Dès qu’une expérience me stimule trop fortement (naissance, accident, décès, catastrophe), je risque de m’enfoncer encore dans mes angoisses (les bruits, les gens, etc.), sans jamais trouver de situation durable, d’où l’amplification de l’agoraphobie. De plus, mon niveau de critique est élevé parce que je vis beaucoup d’insécurité, je fais peu confiance et je crois que les choses et les situations ne vont pas aussi bien que je le voudrais : donc, je critique. L’agoraphobie sous-tend parfois un conflit avec ma mère, que je vais constamment critiquer.

Je dois changer mon attitude dès maintenant. j’accepte une à une mes peurs, telles qu’elles sont, car je sais qu’elles empoisonnent ma vie, mais elles peuvent aussi me faire avancer ! J’apprends à m’aimer et à m’accepter, à aimer mon côté maternel et
protecteur (mère), à me construire un univers physique et intérieur plein de
bonheur, sans critique ni dépendance. J’ai aussi avantage à m’exprimer dans
ma communication verbale et ma créativité. Je dois dépasser la crainte de
« perdre ma place » et être en harmonie avec moi ! Je reste responsable de mon
bonheur, même si j’ai tendance à croire que je détermine à la fois le bonheur
et le malheur d’autrui. ]’accepte de prendre des risques et d’aller au-devant
de mes craintes qui freinent mon pouvoir créatif. Cela m’aidera à maîtriser
davantage ma vie et mes pulsions intérieures. Une sexualité équilibrée et active
aura d’avantage de me faire décrocher de cette fixation émotionnelle liée au plan
mental.
©Jacques Martel

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